Plusieurs scientifiques internationaux collaborent, afin de concevoir et d’examiner une nouvelle classe de tourbillons (des tas tourbillonnants de fluide ou d’air). C’est une étude menée par des chercheurs de l’Amherst Collège aux États-Unis et l’Université d’East Anglia et l’Université de Lancaster au Royaume-Uni. Les détails de leur première analyse en laboratoire de ces tourbillons « exotiques » dans un gaz ultra froid des molécules à des degrés de température très basse, sont écrits dans leur nouvel article.
Cette découverte, annoncée dans le journal Communication Nature, pourrait avoir des conséquences passionnantes, aussi bien pour les implémentations de l’information que pour l’informatique quantique.
Les vortex sont liés à la nature. Dans les techniques de mécanique quantique, les tourbillons restent minuscules et leur mouvement se réalise avec une ampleur sobre et quantifiée. Les physiciens ont été toujours éblouis, grâce à de tels vortex. Ils ont collaboré pour éclaircir les propriétés insolites de la superfluidité et du phénomène de la supraconductivité.
La propriété insolite du tourbillon qu’ils sont en train d’étudier a été provoquée par les symétries dans le gaz quantique. Une nature notamment captivante des études physiques, de la cosmologie aux atomes basiques, est l’émergence de l’univers dissymétrie, malgré les parfaites équivalences sous-jacentes. Par exemple, quand l’eau refroidit et gèle en glace, les particules confuses d’un liquide s’arrangent en une canalisation rythmée.
L’étude est très complexe, pourtant, grâce à la collaboration des étudiants passionnés et brillants, ces expériences difficiles sont accomplies.