Le chirurgien en ortho-traumatologie et un mécanicien de l’institut PPrime ont relevé un défi, sur l’entraide de la nouvelle technologie et la science, afin d’améliorer l’organisme. Le docteur Tanguy Vendeuvre, chirurgien en ortho-traumatologie en CHU de Poitiers a avoué que depuis qu’il a une expérience en mécanique, il dépose des minuscules vis ou pratique des petites entailles. Ses opérations ne se conforment pas encore aux anticipations. De ce fait, Arnaud Germaneau, le responsable de l’équipe photomécanique et analyse expérimentale en mécanique des solides dans l’institut PPrime, a décidé d’établir des sursis de sécurité significative.
Actuellement, le chirurgien approuve après coup ce que l’ordinateur a prévu. Leur collaboration a débuté au moment où le PPrime a œuvré sur les évaluations de relief de La Joconde à l’aide d’une lumière projetée. Après cela, le chirurgien leur a demandé de réaliser cette expérience sur un patient vivant, particulièrement pour faciliter la localisation de la scoliose des enfants. Et depuis, Arnaud Germaneau a décidé d’accompagner le docteur Tanguy Vendeuvre au bloc opératoire. Ce chirurgien apprend la mécanique, afin de réparer une fracture de genou, il tente plusieurs méthodes, pour le réaliser par des machines mécaniques.
Le laboratoire d’anatomie, biomécanique et simulation interviennent ensuite avec des tests sur des corps exposés à la science. C’est un passage dit obligatoire, après le jumeau numérique qui précède le bloc opératoire. Le docteur Vendeuvre a annoncé qu’un os à réparer est considéré comme un élément d’aéronautique, mais il faut se préoccuper de la mobilité de la géométrie du sujet.
Le lancement du parcours ingénierie biomécanique est dû à cette synergie. L’expérience dans le laboratoire a montré que la technologie peut contribuer à réparer les corps humains.